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Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! Oxydation – transmutation – régénération

Telle est, la philosophie de saouli Abdel jalil.

La peinture doit être le produit de la condition humaine dans un monde en continuelle transformation, d’où ces rapports complémentaires entre la peinture et la sculpture. Ainsi et d’après saouli Abdel jalil, deux interrogations s’imposent. La première  concerne les matériaux utilisés, telles feuille des arbres, les fleure, ainsi que toutes les plantes de la nature qui sont comme l’homme mortelles! Les métaux utilisés s’oxydent, les matériaux organiques se métamorphosent. Cet ensemble donne naissance à l’objet, qui se place désormais, dons une immuable mutation. La seconde interrogation concerne la ligne d’horizon, qui bloque la vue et empêche l’imagination de produire du rêve. Il faut dépasser cette ligne d’horizon, par un mariage d’amoure entre les couleurs et les formes, autrement dit entre la peinture et la sculpture. Une << essence pure des choses >> surgit, et, la couleur devient volume, en faisant de l’artiste un être humain dans sa totalité. La matière s’adapte à l’espace, et, l’influence. Une alchimie rationnelle transparait, liée culturellement à l’alchimie arabe, non dans la recherche de la pierre philosophale, mais dans la recherche d’une alchimie mystique. 

Mehmed ben Allal

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