Batball

Hybridation... Créer un nouvel animal, un nouveau oiseau relatant au 20e siècle, entre liberté et crime, entre nature et manufacture, un animal qui pose des questions visuelles, implanter un message au niveau de la forme, associée un élément produit par l’humain avec un autre naturel, une combinaison irrationnelle et contradictoire.  Une balle massive et des ailles de chauve souris, formes étrangères l’une pour l’autre, d’un coté, un être proche à l’humain, prolifère, se nourrie, vieillit... d’un autre un objet industriel, manufacturé. Un animal qui a servi cet objet pour un moment, exploité pour transporter ces armes dans des projets destructeurs tel que “Manhattan”, transporter le trépas, l’anéantissement et la mort, l’installation prendra forme de 300 pièces suspendu, 600 ailes se référent au mythe, aux ailes du roi de la mort.

 La pièce dotée d’une contradiction au niveau du traitement aussi, des ailes roses très détaillés, des veines quasi réaliste, quant à la bombe oxyder, mettant en question le passage du temps, l’étincelle lors du lancement de la balle, ce temps qu’on ne voit pas mais qui a un fort impact.